Cocasseries ethniques – la suite

Je suis allée chercher mes Jolies Petites Bottes chez le fameux cordonnier qui écoute du reggae.

D’abord, j’ai trouvé ça vraiment cute, parce qu’en ce vendredi soir, presque chaud pour un 13 avril, je l’ai vu, de loin, qui courait après une jolie petite fille. La sienne.

En entrant, j’ai constaté qu’il avait avec lui un jeune homme avec une tuque grande et molle qui cousait des chaussures. Il m’a amené mes JPB dans un sac en carton, comme une appétissante commande d’un snackbar indépendant. Il l’a ouvert, m’a montré les réparations portées au talon. J’étais contente.

Un homme avec 60 ans d’expérience, les pouces plein de corne avec des lunettes sur le bout du nez ne m’aurait pas rendue plus confiante à l’égard des soins portés à mes JPB.

En sortant, la petite fille s’est placée dans la vitrine, avec les sandales et me faisait des byebye.

I’m in love.

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