J’attends le métro, comme tous les matins de semaine, il est ben plein quand il arrive à station Beaubien.
HEUREUSEMENT qu’un gentleman en suit pousse un peu derrière lui, pour me faire une beeeeellle petite place devant lui, ben collé.
Il me fait un signe.
Sans façon, merci.
M’tente moyennement de connaître les subtilités de ta physionomie tout en apprenant à ma nuque à quel point ton haleine du matin est chaude.
J’ai évité un malaise plus grand, je pense.