Tata et tata inc.

Nouvel épisode de la série “les tatas font des tatas”.

Je marchais sur Amherst, quand une voiture décapotable,
qui contenait 5 jeunes hommes squeezés à l’intérieur,
a vrombi dans le stationnement d’à côté.

Leur vroum vroum ne m’intéressant pas,
j’essaie d’éviter tout contact visuel.

J’échoue, leur présence est trop évidente.
Ils sont là à me zieuter.

Suite à l’incident un-homme-de-40-ans-me-regarde-en-mettant-son-gaz-au-Ultramar-et-me-rejoint-une-fois-terminé-avec-sa-van-verte-en-tentant-d’attirer-mon-attention-en-mettant-sa-musique-rap-dans-le-tapis, et ce, 5 minutes avant…

J’ai conclu que porter une robe longue, contrairement à ce qu’on pourrait penser, ça tease les hormones masculines.

Donc pour en revenir au contenant [voiture] où grouillent [où sont assis] des vers de terre [Douchebags léger], je les ai regardé monter la rue en faisant toujours plus de vroum vroum. Deux se cassaient le cou pour regarder si je les regardais. Un tata de la main, je réponds au tata (pour me moquer, on s’entend).

Quand j’arrive au coin de la rue, je les vois arrêtés au coin.
Oh fuuudge, ils ont vu ma réponse de tata comme un intérêt de ma part.
Et puis je réalise que non.

De la boucane sort de leur véhicule.
Une d’entre eux tente de voir ce qui ne fonctionne pas,
mais définitivement, ça n’a pas l’air d’une gang de pros de mécanique automobile.

J’ai ri, puis je suis rentrée au 16e étage de ma résidence.

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