Pour ceux qui ne le savent pas, j’aime Montréal. (BIG SURPRISE)

Après avoir partagé des moments à Repentigny, Gatineau, Québec et les alentours, en plus d’un voyage outre-mer pour réaliser qu’on est mieux quand on parle sa langue maternelle… On peut avoir une idée plus claire d’où on veut vivre.

Et pour moi, c’est Montréal.
(Québec, t’es pas trop loin derrière, ne t’en fais pas)

Je t’aime, Montréal, parce que je te parcours à pied et en bus. Si j’ai besoin de sushis, d’huile essentielle de tea tree ou de drogue, je sais que je peux en avoir dans le prochain quart d’heure. (La drogue était une BLAGUE, quoique ça doit pas être dur à trouver… Pas plus qu’en banlieue.)

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Fonder une famille. Devenir propriétaire. Posséder un grand espace, plusieurs étages, un terrain et un chien. Conduire une voiture. Aller aux chaines de restaurants familiaux du coin pour se remplir de poulet. Avoir une carrière. Un petit cercle d’amis; le même depuis 10 ans. Connaître sous tous les angles le mot “hypothèque”. Trouver que l’essence coûte cher. Économiser pour un voyage dans le sud cet hiver. Prendre un café Tim Hortons chaque matin. Dévisager les originaux.

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Oui, on aime ça catégoriser.
Mais faut avouer que la banlieue de Montréal, avec ses centres d’achat extérieurs aménagés en fonction du stationnement, procurant au client une expérience de magasinage de Noël exceptionnelle (Not) (Oui, je viens vraiment de parler de Noël. J’ai hâte, désolée. ), ses multiples autoroutes et concessionnaires automobiles, ses immenses cinémas et magasins grande surface… Ça n’a rien à voir avec Montréal.

Et yo, si tu habites Rosemère, j’veux pas t’entendre dire à du monde que t’habites Montréal. C’est limite insultant. Pas besoin de char pour aller au gym. Moé.

Même chose pour Laval.
Notre clientèle de bar est trop différente de la vôtre.

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J’aime Montréal. Point.