Je viens de passer une fa-bu-leuse fin de semaine où le dauphin a constamment rappelé sa présence, où deux horloges brisées ont fait figer le temps et où faire de la raquette est devenu un sport accessible pour les constateuses.
Tous les ingrédients pour une fin de semaine au chalet réussie étaient là (sauf le spa), mais surtout le plus important: les humains qui composaient la troupe.
C’est fou, mais même si je n’en ai pas l’air (J’ai vraiment été farouche et désagréable le premier soir dû à une fatigue extrême.), j’adore les gens en général. J’aime apprendre à les connaître. Échanger sur des intérêts communs.
Malgré un commencement à la Juliette-en-boule-dans-une-couverte-se-retient-pour-ne-pas-aller-s’enfouir-dans-son-sleeping-bag, j’ai eu l’occasion au cours du weekend de découvrir de merveilleuses personnalités de gens qui savent s’amuser et qui ne se prennent pas au sérieux.
On a jasé lecture, improvisation, mode de vie, professions, choc des cultures, etc. Ils ont même réussi à me faire danser (et y prendre plaisir), moi qui rush tant avec les danses sociales.
Quand les gens ont commencé à quitter, j’avais l’impression qu’on était devenus une petite communauté qui tirait malheureusement à sa fin. Avec l’organisateur des activités, le photographe attitré, l’animateur de camp de jour, le couple de cooks et la danseuse professionnelle, ça m’a fait réaliser à quel point nos différences peuvent être des forces quand on est ensemble… Aussi cucul et nono que ça puisse paraître.
J’écris ces mots dimanche soir. Presque 23h. Je suis crevée, mais heureuse. Merci à tous ceux qui ont partagé cette expérience.
Full de luv pour vous chers amis. xx