J’ai fait un test, en ce dimanche matin.
J’ai cherché, sur mon iTunes, pour combien de temps j’ai de musique qui contient “Sunday” dans le titre, ou l’artiste. J’en arrive à près d’une heure.
J’ai ensuite essayé tous les jours de la semaine (Ouais, je prends ça easy, le dimanche matin.) Et vraiment, à part Simon & Garfunkel qui ont fait une toune sur un mercredi matin à 3AM, y’a que le dimanche pour lequel je retrouve des trucs. Ça inspire beaucoup de choses à beaucoup de gens. Peu étonnant quand même.
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Le dimanche, c’est ce matin où tu te réveilles et tu penses déjà à ta semaine qui commence demain. Ce qu’il y a à faire; lavage, épicerie, vaisselle, ménage. Tu fais aussi le bilan de celle qui se termine. “Ouain, c’était dull cette semaine, j’devrais écouter plus de Peter Bjorn and John, dès aujourd’hui” et là tu tombes sur Paris 2004.
Ça parle de croissants inachevés sur le lit. (Euh, moi j’le finirais, mon croissant, à Paris!)
Le début de la semaine qui commence, une séparation en vue, un besoin de parler de ce qui se passe… Pis de sauter le déjeuner, pour avoir le temps de parler (WHAATT?)… Ils sont si intenses, ces Suédois. Sauter le déjeuner. HA! Bonne blague.
Quand ton dimanche se passe mal, y’a peu de chances que ton lundi soit bien meilleur. Un peu comme le jour de l’an où tu prends tes résolutions après une soirée bien arrosée, le dimanche t’oblige à te prendre en main.
C’est ce lendemain de veille pénible où tu te dis “plus jamais… Ou moins souvent”.